1978 : LA COPA DEL MONDO ! (La coupe du monde, ducon, pas la charcuterie!). Ça rigole moyen pour les communistes ici, en Argentine. Pas tout à fait Maradona qui promet de courir à oilp en cas de victoire, mais plus une quête insatiable pour remporter une coupe remplie de sang d’encre qui éclabousse tout tel Bébé Chiant à la piscine. Amateurices de kidnapping et de torture slasher sur fond de crise politique, bienvenue chez vous !
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« Crève, sale sorcière ! » Ouais, le patriarcat, dans ce film, il est aussi chaud que l’ambiance est froide. Une atmosphère pesante qui va t’asphyxier jusqu’au point de non-retour (attends-toi à passer un mauvais moment, sérieux). Ça se passe durant la nuit de la sylve médiévale, lestée d’une pénombre accablante que peinent à percer les faibles lueurs des bougies, qui n’éclairent plus ce qu’on préfèrerait ne pas voir… En bref : c’est beau mais ça craint grave.
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La Chaux-de-fonds, ça te dit rien ?! Une lettre d’amour ardente adressée à la cité horlogère (et accessoirement Kapital de notre coeur), que l’on parcourt tendrement, armé d’un oeil alerte mettant à nu ses recoins les plus beaux comme ses plus bre-som. Des plans muets, de la photo qui en jette, du noir et blanc, de la techno, des perspectives écrasées, une city tantôt menaçante, effervescente, pétillante, même ; amateurices d’urbanisme, de ville, et…bah… de…T’Chaux (!), bougez pas, c’est par là !
Amateurices de films de bagnole, de transpi’ bien virile ma gueule et d’huile de vidange, matez le paysage : Sylvester Stallone (botoxman 2025) versus David Carradine (mort la bite au vent dans une tempête de plaisir, lol), pour du Vroum Vroum Motherfucker ! L’idée, c’est de gagner des points. Mais en mieux qu’au Landi, puisqu’il faut défragmenter l’adversaire au sens propre. Yess ! ET C’EST UN CINE-CONCEEERT !!! YEAH ! Y’a un trio de musiciens pur jus (ils sont trois, donc) qui vient faire péter la radio du voyage avec du son de malade !!! C’est du Motorjazz from Hell (what ?!), ça vient de la T’Chaux (HA !), ça fait de la basse (tumtum tom), de la batterie (tudum tudum) et du synthé (twoOOooinniiiooOONbib bib), et ça s’appelle Jérôme Corréa, Yannick Gostelli et Alvin Schwaar (!) Ouvre grand les écoutilles, ça va envoyer.
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Hey, vous la manufacture de bébés (aka les parents) ! Vous savez plus quoi faire de vos rejetons ?! Ben nous, oui ! On invite vos diablotins à courir partout et exercer leur malfaisance lors d’une chasse aux oeufs où ils pourront trifouiller partout dans la déco pour y dénicher des chocolats (ou de la visserie, mais il faut la rendre !). Même qu’ils vont pouvoir mater un film gratos assuré choupinou !
Il était une fois un trio de mutins (ils sont trois, donc, pis jeunes, comme vous, les p’tits diablotin·e·s !). Mais le hic du truc qui coince tout, c’est que y’a un mégaméchant promoteur qui préfère les thuthunes vertes et le béton aux rires des enfants. Vous vous rendez compte ?! Heureusement que c’est de la fiction ! S’en suit une aventure par et pour les juniors, avec des lapins, des dragons, une tempête magique, des machines volantes, de la musique et du voyage. Et c’est gratos (!)
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Une pétarade de plaisir, un festival à part entière ! Une idée par plan, vous vous rendez compte ?! Et de la part d’un type qui nous sort son premier film en solo ! Autant vous dire qu’il a tout donné, le bougre. Ça pullule d’idées WTF et l’amour de la pop-culture y transparaît comme ton gâteau carbonisé qui prend feu à travers la vitre du four. Merde, on s’est perdu ? C’est pas grave, le film aussi est en free style.
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Le british humor, ça vous parle ? Bah là c’est pas du tout ça, mais un peu quand même. C’est schlagos et ça fait rire. Le pitch, c’est deux coupines un poil irresponsables qui tombent, comme ça, sur rien de moins qu’une machine à voyager dans le temps. ET PAF ! En voiture Simone ! Ce faux docu, avec sa galerie de perso marginaux et son petit budget, bricole tip top avec peu. C’est inventif, créatif et zarbicoloré-funkykiff.
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L'artiste, c’est toi ! La seule limite, c’est Chronos. 1 minute 30 montre en main, tu piges ?! . Pour le reste, les frontières, c’est celles de ton imaginaire de malade. Saisis illico presto ton âme de cinéaste-garagiste que tu t'ignorais avoir (on croit en toi) ! Si tu veux participer, y'a plus d'infos ICI. Ça promet, et on va bien se marrer !
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Le cinéma, ben, parfois, c’est court, figurez-vous. Et c’est trash, aussi. Mais c’est vraiment pas la taille qui compte, puisqu’on cumule le meilleur le temps d’une nuit orgiaque (!) Yep, l’horloge démoniaque du Plan 9 est tellement cheatée qu’elle vous concentre le best of de 170 heures de visionnages de plus de 1700 courts-métrages (overdose), rien que pour vous ! Là, on voyage dans 15 pays, pas moins, et on voit du paysage de tous types qui défile sur le grand écran. Au menu de la night multicolore : de l’amateurisme, mais pas seulement, du nanar, mais pas que, avec l’équipe qui débarque, parfois. Avec additifs tristesse, extra-terrestres et chatons chous (weee !). Y’a même une pizza tueuse et du caca envahisseur de monde ! Kwa ?! MAIS ILS VONT CHERCHER OÙ TOUTES CES IDÉES ?! ET C’EST PAS FINI ! Y’aura des folies, de la joie, de l’humour, du bonheur et de l’horreur, des cris, des larmes, des rires et du sang ! Plan 9 vous garantit une pétée orgasmique. TAÏAUT ! Et pour ça, on a un jury ! Et un canapé. Pour le jury, le canapé, pas pour toi. NON, POUR LE JURY ON A DIT, TU TE CASSES MAINTENANT, MERDE. Et du coup ce trio d’inquisiteurs (ils sont trois, donc) va juger d’une voix hyper grave et d’un oeil sévère (mais pas sérieux) les prétendants de cette année en jouissant telles les Parques d’un droit de vie ou de mort qui leur conditione l’accès au podium de la gloire éternelle. Le suspense est insoutenable !
programme complet
21:30 PREMIÈRE SÉRIE « SOYEZ TÉMOINS ! »
Un petit projet belge et fauché de fin d’étude devenu cultissime, une reductio ad absurdum géniale de la sournoiserie perverse des médias — que la violence fait bander cochon, une transgression caustique des normes de l’acceptable ; rien que ça (!). " Subtilement " saupoudrée de meurtres et de violence, inondée de dégueulis de propos irrecevables et d’attitudes… discutables (décelez le sarcasme), cette comédie noire hilarante (mais pas très familiale) signait les débuts fracassants du Poelvoorde national en prodigieux pisse-pingouin loghorréique d’une symphonie d’abjections ouffissime. NOM D’UN CHIEN ! C’est même en 35mm, avec André BOOONZEL qui vient dire coucou !
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L’Espagne, le soleil, la playa, la photosynthèse, El Sol, la vie, les Télettubies, tout ça... Bah ici, pas du tout. ¡ Que va ! Hélios, il te nique ta race. Petit con, va ! Ça crame, et ça raconte la descente aux enfers et le pétage de plombs d’un protagoniste ciré, en proie aux pires tourments et à dès accès de colère vénères. Plus de famille, plus que des armes. Une fièvre nihiliste qui suinte de partout dans un pesant désert de démence.
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L’opéra-bouffe du meurtre ! Clairement un hommage tranchant et coloré au cinoche rital bis des 80s (Fulci, Bava, Argento, carrément tout ce qu’on adore). Il y a même le jeu d’acteur borderline charismatique mi-figue mi-semoule qui va avec. La magnificence esthète et emportée du gothico-kitsch-rétro s’imprègne crûment de l’haleine fétide et putréfiée du giallo italien puro e duro. (si j’te traduis, ça donne « ça tue grave ! ». Faut suivre, merde !). ça manque pas d’allures, et avec ces séquences charcutier-traiteur, tes plaisirs coupables copuleront intensément avec l’objet de leurs désirs.
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Ce soir, on bouffe du dino ! Lorsque Stewart Raffill apprend qu'un de ses potes possède tranquillos un T-Rex animatronique dans son jardin, en un, il se dit : « Hey, faut faire un film ! ». Pis en deux : « Nondidiou, keskispass si on y fout une âme humaine, au bestiau !?! ». Voilà voilà... Enthousiaste hyperartiste, il t’embarque dans un grave délit cinématographique gore et poilant. Et WOOOOOOO ! Tu pensais aller où comme ça, gamin·e ?! Le repas est pas fini : y’a du dessert ! Parce que figure-toi que ce film de braques hilarant, il se savoure en silent, avec un casque sur les esgourdes (panique pas, c’est nous qu’on prête, MAIS IL S'APPELLE " REVIENT ", OK ?!), avec option doublages débiles. Un trio de pistes au choix (!) (Y’en a 3, du coup, tu captes ?!). Du genre, sur une, tu broutes pépouze les sentiers battus avec le film en normal-VF, et avec les deux autres, tu dégustes la terra incognita avec du dialogue live rigolo par des barjos. On se régale !
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Tu vois un peu ces endroits poussiéreux pour papy-dinosaures où t’as plein de trucs partout avec des machins qu’on fout dans des bidules ?! Mais oui, ducon ! Les vidéoclubs ! Dans celui-ci (le dernier, pas des moindres), la fiction sort des étagères et les fantasmes des cassettes prennent vie en mode mégaméta gang-bang du septième art. Retiens aussi qu’il se passe pléthore de dingueries dans l’espace cinématographique de ce film-hommage débordant d’inventivité ; un rail de nostalgie 80s.
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Une collab’ tumultueuse entre deux types qui peuvent pas se saquer (pif), poivrée à la tractopelle avec du kung-fu, de la bastouille (paf), de la bagarre (pouf), du bim bam boum (pif), de la moto (vroum vroum) et des cascades (paf). Et après ça, qui donc osera encore dire qu’une poêle ne sert qu’à cuisiner ?! Imbéciles du sens commun ! Y’a de quoi divertir les amateurices de films asiatiques. Transcendé par une bobine 35mm qui défile (Brrr) et délivre à son spectateur subjugué (oui, toi) tous les somptueux prodiges de l’art martial. Et BIM, et BAM, et BIM BAM BOUM !
Cette sale bête te noie dans son vortex, à l’image de la chasse d’eau qui emporte l’absinthe de trop (celle que tu regrettes bien mais c’est trop tard maintenant). Ami·e·s du bon goût, bonsoir : ici, c’est la cave. Il est question de jeunes ados perchés que nul ne peut comprendre (même pas toi), de locaux étranges et ultrapaumés qui déambulent dans un bled largué des STATES, d’une flic lesbienne psychopathe... Monde de barges cherche intrigue pour relation gênante (!) Cool, fauché et très sincère (et un souci du détail, si on a l'oeil).
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Qui a dit que le film de zombies était périmé ?! Pas dans une époque où des oligarques se saluent comme en 39 entre deux désastres écologiques et où la rondelle de Poutine frétille en Dr Folamour sur la tsar bomba... En s’érigeant en survivants du monde de la post-apocalypse, les rejetés d’une société conquièrent enfin la gloire d’une position dont on les prive. C’est rigolo. Et les meilleurs sont toujours belges. Même que son équipe vient nous présenter tout ce bordel !
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Hey, elle t’épate, la déco, non ?! Et ben figure-toi que tu peux carrément l’acheter ! Du coup viens faire péter les enchères des prolos pour repartir heureux à la baraque avec ton chef-d’oeuvre artisanal ! Surtout que ça mérite tous les caprices tellement qu’il est oufissime notre catalogue. Salvador Dali lui-même en aurait dit : « Putain ! Ça retourne sauvagement le cul du Caravage ! ». Et le pire c’est que c’est vraiment vrai. Et c’est marrant, en plus. Donc viens mater le truc !
Ce truc, c’est une collocation cinématographique qui a tout pour surprendre, bébergeant des relations père-fille foireuses, une crise de la cinquantaine de strip-teaseurs aux dad bods, une histoire de secte peu aimable, et des monstres. Rien de moins ! Et le pire, c’est que ça marche vraiment du feu de Dieu ! C’est bardé de belles images, mais on lésine pas sur l’horreur, sur la comédie non plus ; c’est généreux, c’est joli, et c’est british.
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Initialement pensé comme une app-série (kwa ?!), mais finalement gonflé jusqu’au noble Grand Écran (Aaaaah !), ce film conserve de sa genèse originelle bien des étrangetés (kwa ?!) parmi lesquelles un montage parcellaire inédit ! (Weee !) Une volonté de faire que rien n’épuise, une créativité faisant fi de l’admissible, des cauchemars qui feraient trembler les plus solides... Avec son hôtel d’exubérances, Nishimura revient, et il nous gâte ! L’expérimental toque à la chambre voisine ; c’est l’expression brute des fantaisies d’un fou. Pis tu te souviens de Natsumi Tadano ?! Mais oui, imbécile, elle était venue y’a deux ans. Ben là, elle joue encore dans le film !!!
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CYCLE L’ATTRAPE VERGE "Pinku eiga » ; « rose » et « cinéma ». Cute, nan ? Oui... mais non. Parce que le jour du Seigneur, le peuple, il veut du CUL ! Et le sexe, BEEEEURK ! C’est DÉÉGUEUUU ! Ce film d’Orient généreux as fuck te propose un voyage ébranlant sur l’autoroute du malsain désir. Halte au baisodrome de la misère, coït douloureux avec un vagin possédé, plaies qui parlent et hommes qui répugnent, le tout sur toile de fond du rêve américain... C’est la fête à la braguette magique, et l’émigration brute d’une prostituée japonaise qui part aux STATES. Bon voyage !
C’est un peu le PMU dominical que l’on transpose brut de décoffrage dans une ère contemporaine saturée par les médias sociaux. Ici, tout le monde a un podcast, tout le monde a un avis. Les sociologies de comptoir les plus navrantes sont érigés en lois régentes d’un univers où la bêtise est impératrice. C’est cringe, hyper bien ficelé, et même pas si vieux con, en plus. Avec un serial killer violeur d'homme blanc cis hétéro qui rôde... Gare à tes fesses, petit homme !
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Ce soir, les gagnant·e·s, on les asperge de gloire, les inonde de gazoil, les auréole de transpi’ ! Notre jury chéri cloue les meilleurs courts-métrages du jeudi sur la croix divine, juste avant de les souder une bonne fois pour toutes sur l’échafaudage rouillé de la postérité. Pour nos gladiateurices survivant·e·s, c’est la garantie d’une reconnaissance éternelle au purgatoire du bon goût. Surtout que les prix, on les remet pas comme tous le monde ! On kiffe les noyer dans un tsunami de bêtises, sous un déluge d’applaudissements et un tourbillon de « WOUHOUUU » ! T’as pigé, ici, c’est la Consécration, c’est l’Apocalypse. Et même les prix, ils sont bizarres. Carrément cons, même. Presque autant que les métrages. The sky is the limit !
Le cucul de Jimmy oscille avec brio entre ses deux chaises, alternant volontiers la quiche et le dessert. D’un côté, une mise en scène grandiloquente qui te sucre les yeux à foison saveur vanille avec des scènes de rigolo, et de l’autre, de l’angoisse pure et de la terreur qui terreurise réellement. On frôle de peu les 90s dans cette production d’inspiration giallesque, toute de jolis néons vêtue, et où les monstres et les frissons sont à l’honneur.
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Finesse, fascisme et chocolats : loin du bal ! Ici, les nazis qui complotent, Cap’tain les explose à la dynamite zizi ; it’s compote time ! Une loufoquerie entièrement crowd-financée qui nous gâte avec des bêtises on ne peut plus bêtes. Des scientifiques du Reich qui veulent transformer tout le monde en zombie, du lourd, de l’action, du drama, des enjeux cataclysmiques, une armée, du PAN PAN BOUM, du SBROUGL, du AAARGH, du PAF ! ; bref, ça envoie du pâté. Pis le kiki, quoi.
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Dans le premier et le dernier film de cette édition, on tape sur les bestioles totalitaires parce que même si c’est dans un film et que c’est pour de faux, ça fait du bien. C’est comme l’ouverture et la fermeture d’une parenthèse de ta vie, une petite semaine de respiration dont tu as bien besoin
Après tous ces films à thématique « gore-nichons* », la boucherie vous propose cette année une variante de bon goût à base de tranchage, de découpe, d’extirpation, d’écrabouillage de pipous ! Toutefois, nous avons tenu à adresser à tous les mascus fragiles le message suivant : « NE VENEZ PAS ! (au risque d’avoir sacrément mal à votre virilité profonde qui va en prendre un gros coup sur le gland. » * t’inquiète, on en a quand même mis !
stemat el snad etnomer no’q ecap sap srevne’l à elrap ej … WOOOOOOOOOOOOOW, je viens de remonter le temps ! Monte dans ma super DeLorean Marty, on se casse de cet univers pourris avec tous ces bikers crasseux qui se tapent dans le sable et la poussière pour aller voir le futur, ou le passé, je sais plus Marty, chuis bourré et toi aussi, allez viens, monte.
Salut toi ! La prog a fait rugir son V8 rutilant pour te dénicher de tout, de la balade en trotinette électrique à la course à la mort dégoulinante d’hémoglobine et de fluides organiques version carmageddon. On a fait fonctionner nos cerveaux à mac mille sur l’autoroute de la réflexion et on a défini comment qu’c’est sanguignolant ou pas. Grâce à une échelle de 0 à 5 (de pas deg à deg), tu pourras regarder chaque film en sachant à quoi t’attendre. En selle !
Les films projetés à 2300 Plan 9 peuvent parfois choquer, déranger ou véhiculer des messages discutables. Nous vous encourageons donc à vous renseigner à l’avance via ce programme et notre site web (avec bandes-annonces disponibles) de leur contenu Toutefois, nous souhaitons attirer votre attention sur trois films contenant des scènes potentiellement difficiles :
• HERESY : Tentative de viol, sévice religieux, violences conjugales.
• C’EST ARRIVÉ PRÈS DE CHEZ VOUS : Viol entouré de toute les saloperies dont est capable un être humain.
• POUNDCAKE : Viol.
